Insolite

Illuminations Thoiry

Thoiry Night Race : courir dans un zoo féerique

Thoiry Night Race : courir dans un zoo féerique 850 567 Arsene

Le zoo de Thoiry organise sa première Night Race ce 28 janvier 2023 : une course nocturne au cœur de sculptures lumineuses magiques.

Après trois éditions réussies de la Thoiry Wild Race, la Thoiry Night Race propose une version de nuit, avec 2000 illuminations, et une partie des bénéfices reversée pour la sauvegarde des animaux !

Un cadre extraordinaire

Courir à travers 150 hectares de nature, entourés d’animaux géants, en pleine Île de France… C’est totalement hors du commun ! Un véritable rêve éveillé, accessible à tous, grâce aux installations féériques de Thoiry Lumières Sauvages.

Des parcours pour tous les niveaux

Il sera possible de courir 1 km pour les 6-10 ans, 5 km à partir de 11 ans et 10 km dès 16 ans. Des échauffements collectifs sont organisés avant le départ et une lampe frontale est même offerte lors de l’achat du dossard. Il ne vous reste plus qu’à vous munir d’un certificat médical (obligatoire) et à chausser vos plus belles chaussures de sport !


+ D’INFOS

Où ? Rue du Pavillon de Montreuil, 78770 Thoiry

Quand ? Le 28 janvier 2023

Combien ? De 25€ à 39€

Inscriptions : THOIRY NIGHT RACE | ZooSafari de Thoiry

Retrait des dossards : Vendredi 27 janvier 2023 de 15h à 18h / Samedi 28 janvier 2023 de 11h à 15h

Image de une : Illuminations Thoiry ©DIDIER FOTO

I.DMA

Illuminations Thoiry

Thoiry Night Race : courir dans un zoo féerique

Thoiry Night Race : courir dans un zoo féerique 850 567 Arsene

Le zoo de Thoiry organise sa première Night Race ce 28 janvier 2023 : une course nocturne au cœur de sculptures lumineuses magiques.

Après trois éditions réussies de la Thoiry Wild Race, la Thoiry Night Race propose une version de nuit, avec 2000 illuminations, et une partie des bénéfices reversée pour la sauvegarde des animaux !

Un cadre extraordinaire

Courir à travers 150 hectares de nature, entourés d’animaux géants, en pleine Île de France… C’est totalement hors du commun ! Un véritable rêve éveillé, accessible à tous, grâce aux installations féériques de Thoiry Lumières Sauvages.

Des parcours pour tous les niveaux

Il sera possible de courir 1 km pour les 6-10 ans, 5 km à partir de 11 ans et 10 km dès 16 ans. Des échauffements collectifs sont organisés avant le départ et une lampe frontale est même offerte lors de l’achat du dossard. Il ne vous reste plus qu’à vous munir d’un certificat médical (obligatoire) et à chausser vos plus belles chaussures de sport !


+ D’INFOS

Où ? Rue du Pavillon de Montreuil, 78770 Thoiry

Quand ? Le 28 janvier 2023

Combien ? De 25€ à 39€

Inscriptions : THOIRY NIGHT RACE | ZooSafari de Thoiry

Retrait des dossards : Vendredi 27 janvier 2023 de 15h à 18h / Samedi 28 janvier 2023 de 11h à 15h

Image de une : Illuminations Thoiry ©DIDIER FOTO

I.DMA

station de métro abandonnée

Une station de métro fantôme réhabilitée en tiers-lieu futuriste

Une station de métro fantôme réhabilitée en tiers-lieu futuriste 850 567 Arsene

Cette station de métro n’a jamais vu le jour après la faillite de son créateur il y a plus de 30 ans… Mais d’ici 2025-2026, elle va devenir un tiers-lieu majeur de la région parisienne !

Son futur nom ? La station K. Ses 2 500 m² se transformeront en lieu de vie branché et underground que tous les jeunes franciliens vont adorer.

Un site abandonné

La station SK a été construite dans les années 1990 afin de relier la station de RER Noisy-le-Grand-Mont-d’Est au quartier d’affaires « Maille Horizon ». Cependant, on peut encore y accéder aujourd’hui via une porte condamnée. On y trouve même un ancien distributeur de tickets en francs ! Ce lieu plein de charme a donc été le terrain de jeu idéal pour les amateurs durbex.

Un lieu de rencontre hybride

Le projet Station K promet de créer un lieu hybride : on y trouvera une brasserie, des bars et cafés, un espace d’expositions ainsi qu’un mur d’escalade. De plus, un projet d’espace d’agriculture sous-terrain est discuté. On pourrait, pourquoi pas, y faire pousser des champignons ou même des fraises ! Cette station laissée à l’abandon devrait sûrement devenir the place to be…


+ D’INFOS

Mairie de Noisy : L’esplanade de la Commune-de-Paris métamorphosée – Noisy-le-Grand (noisylegrand.fr)

Image de une : station de métro abandonnée ©Vladimir Mulder

I.DMA

 

station de métro abandonnée

Une station de métro fantôme réhabilitée en tiers-lieu futuriste

Une station de métro fantôme réhabilitée en tiers-lieu futuriste 850 567 Arsene

Cette station de métro n’a jamais vu le jour après la faillite de son créateur il y a plus de 30 ans… Mais d’ici 2025-2026, elle va devenir un tiers-lieu majeur de la région parisienne !

Son futur nom ? La station K. Ses 2 500 m² se transformeront en lieu de vie branché et underground que tous les jeunes franciliens vont adorer.

Un site abandonné

La station SK a été construite dans les années 1990 afin de relier la station de RER Noisy-le-Grand-Mont-d’Est au quartier d’affaires « Maille Horizon ». Cependant, on peut encore y accéder aujourd’hui via une porte condamnée. On y trouve même un ancien distributeur de tickets en francs ! Ce lieu plein de charme a donc été le terrain de jeu idéal pour les amateurs durbex.

Un lieu de rencontre hybride

Le projet Station K promet de créer un lieu hybride : on y trouvera une brasserie, des bars et cafés, un espace d’expositions ainsi qu’un mur d’escalade. De plus, un projet d’espace d’agriculture sous-terrain est discuté. On pourrait, pourquoi pas, y faire pousser des champignons ou même des fraises ! Cette station laissée à l’abandon devrait sûrement devenir the place to be…


+ D’INFOS

Mairie de Noisy : L’esplanade de la Commune-de-Paris métamorphosée – Noisy-le-Grand (noisylegrand.fr)

Image de une : station de métro abandonnée ©Vladimir Mulder

I.DMA

 

La Sainte-Trinité, cathédrale russe de Paris, rive gauche © Wirestock Creators

Faire le tour du monde sans quitter le sud de Paris

Faire le tour du monde sans quitter le sud de Paris 1000 667 Arsene

Selon une étude de l’APUR, aujourd’hui 15 % des habitants de la métropole parisienne sont de nationalité étrangère. La richesse et la variété de ce multiculturalisme se retrouvent dans plein de quartiers différents : voici donc nos préférés, pour voyager sans quitter le sud de la capitale !

Chinatown

Fuyant la situation politique en Asie du Sud-Est, plusieurs communautés asiatiques se sont installées dans les logements vacants du 13ème arrondissement dès les années 1970. Ici, on célèbre le Nouvel an chinois, la messe est en cantonais, des temples bouddhistes sont cachés ça et là. On y vient aussi pour faire ses courses chez les frères Tang et profiter des nombreux restos du quartier !

Le Pletzl

C’est le plus ancien quartier juif de Paris puisque la communauté s’installe dans le Marais à partir du XIIIe siècle. Dès 1880, ils se concentrent principalement autour de la place Saint-Paul, renommée le Pletzl  (« petite place » en yiddish). Sa colonne vertébrale est la charmante rue des Rosiers, remplie de bonnes boulangeries et restaurants cacher. Mais n’y allez pas le samedi, c’est le jour du shabbat – le repos hebdomadaire – donc tout est fermé !

La petite Bretagne

Avec la première ligne de train Paris Montparnasse – Brest créée en 1865, de nombreux bretons s’implantent autour de la gare. Mais la langue française n’étant pas obligatoire en Bretagne (avant 1930), ils sont souvent obligés d’accepter les métiers peu qualifiés et subissent le racisme : ils sont appelés « les parias »… Se serrant les coudes, ils arrivent à ouvrir de délicieuses crêperies bretonnes, qui attirent encore parisiens et touristes aujourd’hui !

Billankoursk

Suite à la Révolution russe de 1917, de nombreuses familles russes trouvent refuge près de Paris, dans un quartier de Boulogne-Billancourt qui sera rapidement surnommé « Billankoursk ». 30 000 de ces hommes sont embauchés dans les usines Renault voisines, et s’installent définitivement ici. La jolie église orthodoxe Saint-Nicolas-le-Thaumaturge conserve encore la mémoire de cette page de l’Histoire.

Quartiers arméniens

Surnommé « la petite Arménie », un quartier d’Alfortville est le repaire de la communauté arménienne depuis les années 1910. La Maison Arménienne Culturelle et Artistique, l’église apostolique Saint-Paul et Saint-Pierre, les commerces et rues qui portent des noms arméniens sont toujours le symbole de cette présence. On retrouve un quartier similaire à Issy-Les-Moulineaux, avec également son église évangélique, son temple et sa maison de la Culture Arménienne.

Découvrez aussi comment faire le tour du monde sans quitter le nord de Paris !

Image à la UNE : La Sainte-Trinité, cathédrale russe de Paris, rive gauche © Wirestock Creators

A. C.

La Sainte-Trinité, cathédrale russe de Paris, rive gauche © Wirestock Creators

Faire le tour du monde sans quitter le sud de Paris

Faire le tour du monde sans quitter le sud de Paris 1000 667 Arsene

Selon une étude de l’APUR, aujourd’hui 15 % des habitants de la métropole parisienne sont de nationalité étrangère. La richesse et la variété de ce multiculturalisme se retrouvent dans plein de quartiers différents : voici donc nos préférés, pour voyager sans quitter le sud de la capitale !

Chinatown

Fuyant la situation politique en Asie du Sud-Est, plusieurs communautés asiatiques se sont installées dans les logements vacants du 13ème arrondissement dès les années 1970. Ici, on célèbre le Nouvel an chinois, la messe est en cantonais, des temples bouddhistes sont cachés ça et là. On y vient aussi pour faire ses courses chez les frères Tang et profiter des nombreux restos du quartier !

Le Pletzl

C’est le plus ancien quartier juif de Paris puisque la communauté s’installe dans le Marais à partir du XIIIe siècle. Dès 1880, ils se concentrent principalement autour de la place Saint-Paul, renommée le Pletzl  (« petite place » en yiddish). Sa colonne vertébrale est la charmante rue des Rosiers, remplie de bonnes boulangeries et restaurants cacher. Mais n’y allez pas le samedi, c’est le jour du shabbat – le repos hebdomadaire – donc tout est fermé !

La petite Bretagne

Avec la première ligne de train Paris Montparnasse – Brest créée en 1865, de nombreux bretons s’implantent autour de la gare. Mais la langue française n’étant pas obligatoire en Bretagne (avant 1930), ils sont souvent obligés d’accepter les métiers peu qualifiés et subissent le racisme : ils sont appelés « les parias »… Se serrant les coudes, ils arrivent à ouvrir de délicieuses crêperies bretonnes, qui attirent encore parisiens et touristes aujourd’hui !

Billankoursk

Suite à la Révolution russe de 1917, de nombreuses familles russes trouvent refuge près de Paris, dans un quartier de Boulogne-Billancourt qui sera rapidement surnommé « Billankoursk ». 30 000 de ces hommes sont embauchés dans les usines Renault voisines, et s’installent définitivement ici. La jolie église orthodoxe Saint-Nicolas-le-Thaumaturge conserve encore la mémoire de cette page de l’Histoire.

Quartiers arméniens

Surnommé « la petite Arménie », un quartier d’Alfortville est le repaire de la communauté arménienne depuis les années 1910. La Maison Arménienne Culturelle et Artistique, l’église apostolique Saint-Paul et Saint-Pierre, les commerces et rues qui portent des noms arméniens sont toujours le symbole de cette présence. On retrouve un quartier similaire à Issy-Les-Moulineaux, avec également son église évangélique, son temple et sa maison de la Culture Arménienne.

Découvrez aussi comment faire le tour du monde sans quitter le nord de Paris !

Image à la UNE : La Sainte-Trinité, cathédrale russe de Paris, rive gauche © Wirestock Creators

A. C.

Villa Santos-Dumont, Paris 15e © Chabe01

Les villas les plus pittoresques de l’Ouest parisien

Les villas les plus pittoresques de l’Ouest parisien 1024 768 Arsene

Paris compte 178 « villas », des ruelles secrètes, souvent verdoyantes, parfois privées… Avec leurs maisons basses et colorées, elles ont un petit air de village qui nous transporte hors du temps ! On vous emmène découvrir les plus charmantes d’entre elles.

Villa Dietz-Monnin, Paris 16e

Difficile d’imaginer que ces maisons de la fin du XIXe siècle étaient à l’origine construites pour les ouvriers, tant elles représentent aujourd’hui le comble du luxe ! Une bulle de verdure abritée des regards, en plein coeur du très chic 16ème arrondissement.

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Parisloovers (@parisloovers)

Villa de Beauséjour, Paris 16e

Ce qu’il y a de remarquable ici se sont les « isbas », quatre maisons russes issues de l’Exposition Universelle de 1867. Pour les fans de Starmania, sachez que Michel Berger et France Gall ont vécu dans la Villa de Beauséjour, et qu’ils ont hébergé Fabienne Thibeault lorsqu’elle est arrivée en France pour le spectacle !

Villa Santos-Dumont, Paris 15e

Construite au tournant des années 1920, cette impasse doit son originalité à la diversité de ses édifices : bâtisses à l’allure normande, maisons-ateliers avec de larges baies vitrées ou encore demeures en pierre se côtoient ici en parfaite harmonie. De nombreux artistes ont résidé ici tels que les sculpteurs Ossip Zadkine et Fernand Léger, le peintre Corebellini et le mosaïste Gatti.

Villa Seurat, Paris 14e

Ici aussi se trouvent des ateliers mythiques (aujourd’hui tous inscrits aux monuments historiques !) car la Villa Seurat fut, dès sa création, conçue comme une cité d’artistes. Particulièrement appréciée des sculpteurs, comme Robert Couturier, Emile Just Bachelet et Arnold Huggler, on peut d’ailleurs toujours y visiter l’atelier de sculpture de Chana Orloff.

Villa Hallé, Paris 14e

Elle tient son nom de Jean Noël Hallé, médecin de l’empereur Napoléon Ier et du roi Charles X, professeur émérite au Collège de France et créateur de l’enseignement de l’hygiène. En coudée, elle suit le tracé de la charmante placette en demi-cercle de la rue Hallé, ce qui lui confère une atmosphère particulière et unique en son genre à Paris !

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Eric David (@ericphdavid)

On vous propose aussi de découvrir les plus belles villas de l’Est parisien !

Image de UNE : Villa Santos-Dumont, Paris 15e © Chabe01

A. C.

 

 

Villa Santos-Dumont, Paris 15e © Chabe01

Les villas les plus pittoresques de l’Ouest parisien

Les villas les plus pittoresques de l’Ouest parisien 1024 768 Arsene

Paris compte 178 « villas », des ruelles secrètes, souvent verdoyantes, parfois privées… Avec leurs maisons basses et colorées, elles ont un petit air de village qui nous transporte hors du temps ! On vous emmène découvrir les plus charmantes d’entre elles.

Villa Dietz-Monnin, Paris 16e

Difficile d’imaginer que ces maisons de la fin du XIXe siècle étaient à l’origine construites pour les ouvriers, tant elles représentent aujourd’hui le comble du luxe ! Une bulle de verdure abritée des regards, en plein coeur du très chic 16ème arrondissement.

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Parisloovers (@parisloovers)

Villa de Beauséjour, Paris 16e

Ce qu’il y a de remarquable ici se sont les « isbas », quatre maisons russes issues de l’Exposition Universelle de 1867. Pour les fans de Starmania, sachez que Michel Berger et France Gall ont vécu dans la Villa de Beauséjour, et qu’ils ont hébergé Fabienne Thibeault lorsqu’elle est arrivée en France pour le spectacle !

Villa Santos-Dumont, Paris 15e

Construite au tournant des années 1920, cette impasse doit son originalité à la diversité de ses édifices : bâtisses à l’allure normande, maisons-ateliers avec de larges baies vitrées ou encore demeures en pierre se côtoient ici en parfaite harmonie. De nombreux artistes ont résidé ici tels que les sculpteurs Ossip Zadkine et Fernand Léger, le peintre Corebellini et le mosaïste Gatti.

Villa Seurat, Paris 14e

Ici aussi se trouvent des ateliers mythiques (aujourd’hui tous inscrits aux monuments historiques !) car la Villa Seurat fut, dès sa création, conçue comme une cité d’artistes. Particulièrement appréciée des sculpteurs, comme Robert Couturier, Emile Just Bachelet et Arnold Huggler, on peut d’ailleurs toujours y visiter l’atelier de sculpture de Chana Orloff.

Villa Hallé, Paris 14e

Elle tient son nom de Jean Noël Hallé, médecin de l’empereur Napoléon Ier et du roi Charles X, professeur émérite au Collège de France et créateur de l’enseignement de l’hygiène. En coudée, elle suit le tracé de la charmante placette en demi-cercle de la rue Hallé, ce qui lui confère une atmosphère particulière et unique en son genre à Paris !

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Eric David (@ericphdavid)

On vous propose aussi de découvrir les plus belles villas de l’Est parisien !

Image de UNE : Villa Santos-Dumont, Paris 15e © Chabe01

A. C.

 

 

Une villa de la Mouzaia à Paris

Les villas les plus pittoresques de l’Est parisien

Les villas les plus pittoresques de l’Est parisien 1200 627 Arsene

Dans la capitale, 178 rues portent le nom de « villa » : ce sont en général des ruelles cachées (parfois même privées !) pleines de charme. On vous présente les plus belles, secrètes et bucoliques…

Villa Riberolle, Paris 20e

Nichée derrière le Père-Lachaise, cette jolie impasse nous plonge dans le Paris ouvrier et industriel d’antan : pavés disjoints, ateliers d’artistes un peu délabrés, lierre grimpant… Un côté pittoresque dont on ne se lasse pas !

Villa de l’Ermitage, Paris 20e

Celle-ci abrite de mignonnettes maisons basses ne dépassant pas 3 mètres de haut, dotées de jardinets et de beaux portails en fer forgé. On y trouve aussi un petit théâtre et l’atelier du sculpteur Daki.

Villa Amalia, Paris 19e

En plein coeur du charmant quartier de la Mouzaïa, cette ancienne « Villa des Acacias », aujourd’hui Villa Amalia, est un véritable havre de paix à deux pas du parc des Buttes Chaumont.

Villa des Tulipes, Paris 18e

Petit coin de paradis peuplé de végétaux, ici il n’y a ni immeubles, ni bruit… mais de la tranquillité, des maisons de caractère et un superbe jardin partagé soigné par les habitants.

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par @chris17200

Villa Léandre, Paris 18e

Hors des sentiers touristiques de Montmartre, cette impasse pavée nous transporte à Londres ou en bord de mer avec ses maisonnettes colorées au charme irrésistible. Un sublime tableau !

On vous propose aussi de découvrir les plus belles villas de l’Ouest parisien !

Image de UNE : Une villa de la Mouzaia à Paris 19e © Kiev.Victor

A. C.

Une villa de la Mouzaia à Paris

Les villas les plus pittoresques de l’Est parisien

Les villas les plus pittoresques de l’Est parisien 1200 627 Arsene

Dans la capitale, 178 rues portent le nom de « villa » : ce sont en général des ruelles cachées (parfois même privées !) pleines de charme. On vous présente les plus belles, secrètes et bucoliques…

Villa Riberolle, Paris 20e

Nichée derrière le Père-Lachaise, cette jolie impasse nous plonge dans le Paris ouvrier et industriel d’antan : pavés disjoints, ateliers d’artistes un peu délabrés, lierre grimpant… Un côté pittoresque dont on ne se lasse pas !

Villa de l’Ermitage, Paris 20e

Celle-ci abrite de mignonnettes maisons basses ne dépassant pas 3 mètres de haut, dotées de jardinets et de beaux portails en fer forgé. On y trouve aussi un petit théâtre et l’atelier du sculpteur Daki.

Villa Amalia, Paris 19e

En plein coeur du charmant quartier de la Mouzaïa, cette ancienne « Villa des Acacias », aujourd’hui Villa Amalia, est un véritable havre de paix à deux pas du parc des Buttes Chaumont.

Villa des Tulipes, Paris 18e

Petit coin de paradis peuplé de végétaux, ici il n’y a ni immeubles, ni bruit… mais de la tranquillité, des maisons de caractère et un superbe jardin partagé soigné par les habitants.

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par @chris17200

Villa Léandre, Paris 18e

Hors des sentiers touristiques de Montmartre, cette impasse pavée nous transporte à Londres ou en bord de mer avec ses maisonnettes colorées au charme irrésistible. Un sublime tableau !

On vous propose aussi de découvrir les plus belles villas de l’Ouest parisien !

Image de UNE : Une villa de la Mouzaia à Paris 19e © Kiev.Victor

A. C.