Culture

Au Muséum, Félins l'expo la plus craquante de Paris

« Félins » : l’expo la plus craquante de Paris

« Félins » : l’expo la plus craquante de Paris 850 405 Arsene

Le Muséum national d’Histoire naturelle présente une nouvelle exposition. Dans la Grande Galerie de l’Évolution, découvrez toute l’histoire des félins. 

« C’est l’une des familles de mammifères les plus représentées dans les livres et les films. C’est aussi l’une des familles d’animaux que le public pense connaître le mieux. » Mais est-ce vraiment le cas ? Le muséum (MNHN) interroge les Parisiens. Il souhaite faire redécouvrir les félins au public. À quelques semaines de l’ouverture de l’exposition « Félins », on vous dévoile les contours de cette exposition d’envergure.

L’objectif de « Félins » : faire une carte d’identité de ces mammifères. Le MNHN souhaite tout montrer des félins qu’il s’agisse de leur diversité, de leurs impressionnantes capacités de prédateurs, de leurs relations avec les hommes à travers les époques et les cultures ou de leur domestication. 

Dès le 22 mars 2023, trente-huit espèces de félins vont être présentées de manière « tout à fait inédite ». Cette exposition associe les connaissances scientifiques les plus récentes ainsi qu’une scénographie originale liant collections, films, jeux, dispositifs interactifs, objets de collection, etc. Elle présente aussi plus de 100 spécimens et pièces anatomiques.

Le lion, le tigre, la panthère et le chat domestique seront exposés. « Félins », c’est aussi de découvrir des espèces moins connues comme le chat pêcheur, le chat à tête plate ou le guigna. Le Muséum souhaite aussi présenter les nombreux dangers qui pèsent sur l’ensemble des félins de la planète, avec le cas particulièrement évocateur du lynx en France. Rendez-vous en mars 2023 pour découvrir cette exposition.

Les prédateurs mis à l’honneur

En parallèle, dès le printemps 2023 le Parc Zoologique de Paris (12ème), met en place une programmation exceptionnelle pour mieux comprendre le prédateur. Et s’apercevoir qu’il « n’est pas forcément celui que l’on croit ». Au-delà des félins, il y a aussi les autres prédateurs (insectes, oiseaux, petits mammifères, lézards, serpents…).


+ D’INFOS

FÉLINS 
Où ? Grande Galerie de l’Évolution, Jardin des Plantes – 36 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 5ème 
Quand ? Du 22 mars 2023 au 7 janvier 2024 
Horaire ? Ouvert de 10h à 18h tous les jours sauf les mardis, le 1er janvier, le 1er mai et le 25 décembre.
Combien ? Tarifs : 13 € / 10 € 

Photo de une : Exposition Félins – Jaguar (Panthera onca) © MNHN- FG Grandin

C.D.

Au Muséum, Félins l'expo la plus craquante de Paris

« Félins » : l’expo la plus craquante de Paris

« Félins » : l’expo la plus craquante de Paris 850 405 Arsene

Le Muséum national d’Histoire naturelle présente une nouvelle exposition. Dans la Grande Galerie de l’Évolution, découvrez toute l’histoire des félins. 

« C’est l’une des familles de mammifères les plus représentées dans les livres et les films. C’est aussi l’une des familles d’animaux que le public pense connaître le mieux. » Mais est-ce vraiment le cas ? Le muséum (MNHN) interroge les Parisiens. Il souhaite faire redécouvrir les félins au public. À quelques semaines de l’ouverture de l’exposition « Félins », on vous dévoile les contours de cette exposition d’envergure.

L’objectif de « Félins » : faire une carte d’identité de ces mammifères. Le MNHN souhaite tout montrer des félins qu’il s’agisse de leur diversité, de leurs impressionnantes capacités de prédateurs, de leurs relations avec les hommes à travers les époques et les cultures ou de leur domestication. 

Dès le 22 mars 2023, trente-huit espèces de félins vont être présentées de manière « tout à fait inédite ». Cette exposition associe les connaissances scientifiques les plus récentes ainsi qu’une scénographie originale liant collections, films, jeux, dispositifs interactifs, objets de collection, etc. Elle présente aussi plus de 100 spécimens et pièces anatomiques.

Le lion, le tigre, la panthère et le chat domestique seront exposés. « Félins », c’est aussi de découvrir des espèces moins connues comme le chat pêcheur, le chat à tête plate ou le guigna. Le Muséum souhaite aussi présenter les nombreux dangers qui pèsent sur l’ensemble des félins de la planète, avec le cas particulièrement évocateur du lynx en France. Rendez-vous en mars 2023 pour découvrir cette exposition.

Les prédateurs mis à l’honneur

En parallèle, dès le printemps 2023 le Parc Zoologique de Paris (12ème), met en place une programmation exceptionnelle pour mieux comprendre le prédateur. Et s’apercevoir qu’il « n’est pas forcément celui que l’on croit ». Au-delà des félins, il y a aussi les autres prédateurs (insectes, oiseaux, petits mammifères, lézards, serpents…).


+ D’INFOS

FÉLINS 
Où ? Grande Galerie de l’Évolution, Jardin des Plantes – 36 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 5ème 
Quand ? Du 22 mars 2023 au 7 janvier 2024 
Horaire ? Ouvert de 10h à 18h tous les jours sauf les mardis, le 1er janvier, le 1er mai et le 25 décembre.
Combien ? Tarifs : 13 € / 10 € 

Photo de une : Exposition Félins – Jaguar (Panthera onca) © MNHN- FG Grandin

C.D.

chloe colors festival

Le nouveau Colors Festival de Paris dans un immeuble de 4 500 m² 

Le nouveau Colors Festival de Paris dans un immeuble de 4 500 m²  1920 2560 Arsene

Pour sa 3e édition, le Colors Festival promet aux amateurs de street art une nouvelle immersion exceptionnelle : rendez­-vous dans le 19e arrondissement du 4 février au 10 décembre 2023.

Envie d’un peu de couleurs quand la météo n’est pas joyeuse ? Le Colors Festival est de retour et il a vu les choses en grand ! On pourra y admirer les œuvres de 80 artistes (street-artistes, peintres ou encore photographes) pour un véritable effet arc-en-ciel sur 5 étages.

4 500 m² de street art dans un ancien immeuble désaffecté

Du 4 février au 10 décembre 2023, rendez-vous du côté de Porte de la Villette pour profiter de cette expérience immersive XXL. Les 4 500 m² d’un immeuble désaffecté seront recouverts d’art du sol au plafond.

Une nouvelle édition très attendue

L’an dernier déjà, Anna Conda, Carole B., Combo, Codex Urbanus, HeartCraft, Levalet, Petite Poissone, Rast, Sax et d’autres street-artistes avaient métamorphosé ce lieu abandonné en spot d’art urbain géant sur 700 m². Sur les deux premières éditions, plus de 30 000 visiteurs étaient venus admirer ce projet insolite et on en attend encore plus pour cette année !


+ D’INFOS

Où : 105 boulevard macdonald – Porte de la Villette 75019 Paris

Quand : Du 4 février au 10 décembre 2023

Horaires d’ouverture : du lundi au vendredi : de 11 h à 19 h (dernière entrée à 18 h) – sessions nocturnes les jeudis à 19 h et 20 h – samedis, dimanches et jours fériés : de 10 h à 20 h (dernière entrée à 19 h).

Combien : À partir de 15 euros

Site de l’événement : Colors Festival Paris – ColorsFestival

Image de une : Colors festival 2022 ©VivreParis

I.DMA

chloe colors festival

Le nouveau Colors Festival de Paris dans un immeuble de 4 500 m² 

Le nouveau Colors Festival de Paris dans un immeuble de 4 500 m²  1920 2560 Arsene

Pour sa 3e édition, le Colors Festival promet aux amateurs de street art une nouvelle immersion exceptionnelle : rendez­-vous dans le 19e arrondissement du 4 février au 10 décembre 2023.

Envie d’un peu de couleurs quand la météo n’est pas joyeuse ? Le Colors Festival est de retour et il a vu les choses en grand ! On pourra y admirer les œuvres de 80 artistes (street-artistes, peintres ou encore photographes) pour un véritable effet arc-en-ciel sur 5 étages.

4 500 m² de street art dans un ancien immeuble désaffecté

Du 4 février au 10 décembre 2023, rendez-vous du côté de Porte de la Villette pour profiter de cette expérience immersive XXL. Les 4 500 m² d’un immeuble désaffecté seront recouverts d’art du sol au plafond.

Une nouvelle édition très attendue

L’an dernier déjà, Anna Conda, Carole B., Combo, Codex Urbanus, HeartCraft, Levalet, Petite Poissone, Rast, Sax et d’autres street-artistes avaient métamorphosé ce lieu abandonné en spot d’art urbain géant sur 700 m². Sur les deux premières éditions, plus de 30 000 visiteurs étaient venus admirer ce projet insolite et on en attend encore plus pour cette année !


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Où : 105 boulevard macdonald – Porte de la Villette 75019 Paris

Quand : Du 4 février au 10 décembre 2023

Horaires d’ouverture : du lundi au vendredi : de 11 h à 19 h (dernière entrée à 18 h) – sessions nocturnes les jeudis à 19 h et 20 h – samedis, dimanches et jours fériés : de 10 h à 20 h (dernière entrée à 19 h).

Combien : À partir de 15 euros

Site de l’événement : Colors Festival Paris – ColorsFestival

Image de une : Colors festival 2022 ©VivreParis

I.DMA

Que faire à Paris du 23 au 29 janvier 2023 ?

Que faire à Paris du 23 au 29 janvier 2023 ?

Que faire à Paris du 23 au 29 janvier 2023 ? 850 567 Arsene

Chaque semaine, la rédaction de Vivre Paris sélectionne les meilleurs évènements ayant lieu dans la capitale  : balades, soirées, expos… Le plus dur va être de choisir alors, suivez le guide !

Lundi 23 janvier – Ouverture de HEIMAT Paris

HEIMAT by Waris Dirie est un club de fitness pas comme les autres. Véritable concept-store de gym réservé aux femmes, il s’apprête à être inauguré à Paris. Lire la suite de notre article

HEIMAT Paris © HEIMAT

HEIMAT Paris © HEIMAT

Où ? 35 Rue Paul Valéry, 16ème
Quand ? Lun-Ven : 7h-23h | Sam-Dim : 8h-21h
Combien ? 250 €/mois

Mardi 24 janvier – Les plus belles robes haute-couture

Alors que la Fashion Week débute à Paris, Christie’s présente une exposition rare. Les plus belles robes haute-couture sont présentées. Des pièces conçues par les plus grands créateurs dans les maisons les plus prestigieuses, de Chanel à Saint-Laurent.

Où ? Christie’s – 9 Avenue Matignon, 8ème
Quand ? Expo jusqu’au 24 janvier 2023 | Vente aux enchères jusqu’au 25 janvier 2023
Combien ? Exposition gratuite

Mercredi 25 janvier – Serge Gainsbourg, le mot exact – Ville de Paris

La Bibliothèque publique d’information (Bpi) expose au Centre Pompidou, et pour la première fois, des manuscrits de Serge Gainsbourg provenant de son domicile, rue de Verneuil (7e), ainsi que de nombreux ouvrages de sa bibliothèque !

Où ? Centre Pompidou – Place Georges-Pompidou, 4ème
Quand ? Jusqu’au 8 mai 2023
Combien ? Exposition gratuite

Jeudi 26 janvier – Le Food Market Nouvel An Lunaire

Rendez-vous immanquable pour célébrer le nouvel an tout en dégustant de la délicieuse street-food. Le Food Market de Belleville est de retour pour le nouvel an lunaire. Au menu : plat typique de street-food asiatique et danse du lion !

 

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Où ? Boulevard de Belleville, 20ème
Quand ? De 18h à 22H30
Combien ? Entrée gratuite

Jeudi 26 janvier – Festival de cirque

Le festival mondial du cirque de demain, c’est un show exceptionnel. À Paris, des artistes de cirque du monde se rassemblent pour réaliser leur numéro. Les meilleurs sont récompensés par un jury international et par le public !

Où ? Cirque Phénix – Pelouse de Reuilly, 12ème
Quand ? Du 26 au 29 janvier 2023
Combien ? De 15 à 75€

Vendredi 27 janvier – Cité de l’histoire

Parcours immersif, réalité virtuelle, expérience sensorielle, redécouvrez les plus grandes périodes de l’histoire, comme si vous y étiez. La Cité de l’Histoire, c’est “un inoubliable voyage dans le temps”.

Où ? 1 Parvis de la Défense, 92800 Puteaux
Quand ? Dès 10h
Combien ? Dès 18,99€

Samedi 28 janvier – Course féerique

Au zoo de Thoiry, une course nocturne insolite vous attend. À travers les illuminations féériques du parc, traversez de magnifiques forêts ! Un parcours de 5 ou 10km pour les adultes et 1km pour les plus petits.

Où ? 2 rue Pavillon de Montreuil, 78770
Quand ? Dès 17h30
Combien ? De 17 à 39€

Dimanche 29 janvier – Brunch hilarant

Ce dimanche, découvrez le brunch “le plus drôle de la capitale”. Au Paname Art Café, célèbre comedy club, profitez d’un brunch (pancake, pain perdu, salade, saumon, jus de fruits …) avant de voir défiler des humoristes sur scène !

Où ? 14 rue de la Fontaine au Roi, 11ème
Quand ? À partir de 11h
Combien ? 38€ (Brunch + spectacle)


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Photo de une : Image d’illustration : bateaux sur la Seine à Paris ©Catarina Belova

C.D

Musee-des-arts-decoratifs

Club80 : nocturnes exceptionnelles au Musée des Arts Décoratifs

Club80 : nocturnes exceptionnelles au Musée des Arts Décoratifs 757 497 Arsene

Trois soirées pour trois rendez-vous inédits. Le musée des Arts décoratifs organise des nocturnes d’exceptions autour de son exposition « Années 80 ». Vivre Paris vous dévoile le programme de ces soirées à ne pas manquer !

En marge de l’exposition « Années 80 », le musée des Arts Décoratifs organise des nocturnes de folie. CLUB80, ce sont trois soirées au format inédit, un jeudi par mois les 26 janvier, 23 février et 23 mars 2023. À partir de 21h, la visite de l’exposition « Années 80 » se poursuit à L’ŒIL (1er), un club parisien à deux pas du musée !

Durant ces trois soirées, le musée des Arts décoratifs présente un format hybride, à mi-chemin entre l’exposition et la soirée « clubbing ». CLUB80 célèbre l’histoire de la fête et fait revivre l’esthétique « Eighties » qui continue d’inspirer la nuit parisienne actuelle. L’accès à ces soirées est payant et l’une d’entre elles est déjà complète.

 

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Trois collectifs de folie

La programmation musicale est assurée par trois collectifs. Le premier soir (26 janvier), le collectif queer « Kindergarten » rythmera la soirée. Cette première soirée est déjà complète mais il y a encore des places pour les deux autres. Le collectif « Pardonnez-nous » mettra le feu à lors de la deuxième soirée (23 février).Composé de cinq DJs issues d’univers musicaux différents, le collectif crée une ambiance unique en « insufflant un esprit de liberté et de tolérance décomplexée ».

Le dernier soir (23 mars), « MYST », un projet queer, animera L’ŒIL. Le collectif est connu pour ses soirées à l’univers immersif où performances et extravagances s’associent. MYST organise également des défilés de mode mêlant créatures avant-gardistes et des créations étincelantes.

Avis aux amateurs : les tenues 80s sont fortement recommandées pour la visite de l’exposition : les tenues les plus extravagantes seront récompensées. Des catalogues sont à gagner.


+ D’INFOS

KINDERGARTEN (Complet) | PARDONNEZ-NOUS | MYST

Où ? Musée des Arts décoratifs – 107 rue de Rivoli, 1er (Entrée par le jardin) | Club L’ŒIL – 33 rue des Petits Champs, 1er
Quand ? Les 26 janvier, 23 février et 23 mars 2023. 
Horaire ? De 18h à 21h : exposition temporaire | De 21h à 3h : soirée au club L’ŒIL
Combien ? 14 € (exposition en nocturne + soirée au club L’ŒIL) | Accès interdit au moins de 18 ans pour le club

Photo de une : Musée des Arts Décoratifs © Telemaque MySon

C.D.

18e édition du festival Hors Pistes, au centre Pompidou

Hors Pistes, le festival unique débute aujourd’hui

Hors Pistes, le festival unique débute aujourd’hui 1200 627 Arsene

Pour la 18e édition du festival Hors Pistes, le centre Pompidou traite la guerre en Ukraine par l’image. Jusqu’au 19 février 2023, expositions, projections de films, performances, rencontres et spectacles rythmeront les lieux.

Au centre Georges-Pompidou (4ème), un nouveau festival artistique débute ce vendredi 20 janvier. Tous les ans, le centre d’art s’intéresse à un sujet d’actualité et le traite par l’image. Cette année, la guerre en Ukraine est au cœur de la 18e édition du festival Hors Pistes. Jusqu’au 19 février, expositions, projections de films, performances, rencontres et spectacles rythmeront le centre Pompidou.

Cet événement se découpe en deux parties. La première : “voir la guerre”. Plusieurs artistes interrogent le public sur l’importance de l’image, une « pièce à conviction”, en temps de conflit. En Ukraine, depuis l’invasion de la Russie, c’est l’image amateure, celle prise par des civils ou des militaires, qui fait la une.

Voir la guerre et faire la paix

Ainsi, Orianne Ciantar Olive, photographe indépendante, présente une série de clichés captivante. Accompagnées de témoignages sonores, des photos du quotidien de la jeunesse ukrainienne défilent. L’intention de l’artiste est de solliciter l’engagement du public, en diffusant des images transmises depuis le cœur de la guerre sans aucune image de guerre. Pour “briser le cycle de la violence”.

 

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Une publication partagée par Vivre Paris (@vivreparis)

Mais faire la guerre, c’est espérer à terme la paix. “Faire la paix”, c’est l’autre thème exploré par le centre Pompidou. Un sujet difficile à montrer en image. “Nous avons une mauvaise représentation mentale de la paix, estime Géraldine Gomez, chargée de programmation. Ce sont plutôt les négociations autour d’une table que nous avons en tête.

Installations insolites

Pour illustrer ce thème, l’artiste plasticienne Hélène Mutter présente “Military Sunset”. Sous les yeux des visiteurs, des images de soldats au moment du coucher du soleil défilent. Dans le même temps, des témoignages de spécialistes ou de haut gradés donnent leur vision de la guerre et de la paix.

Le festival Hors Pistes prend aussi vie grâce à un concert et aux nombreuses rencontres qui y ont lieu. La cinéaste Danielle Arbid, le journaliste Pierre Haski et des invités décryptent la guerre. Des installations insolites sont aussi mises en place comme l’utilisation du jeu vidéo Minecraft pour étudier l’homme ou la mise en place d’une expérience immersive et sensorielle unique.


+ D’INFOS

18e édition du festival Hors Pistes

Où ? Le centre national d’art et de culture Georges-Pompidou – Place Georges-Pompidou, 4ème 
Quand ? Du 19 janvier au 19 février 2023
Horaire ? Ouvert tous les jours de 11h à 21h, sauf le mardi
Combien ? Le festival Hors Pistes est en accès libre, à l’exception du concert de Ragapop

Photo de une : Image d’illustration – Centre Pompidou! © Pio3

C.D.

18e édition du festival Hors Pistes, au centre Pompidou

Hors Pistes, le festival unique débute aujourd’hui

Hors Pistes, le festival unique débute aujourd’hui 1200 627 Arsene

Pour la 18e édition du festival Hors Pistes, le centre Pompidou traite la guerre en Ukraine par l’image. Jusqu’au 19 février 2023, expositions, projections de films, performances, rencontres et spectacles rythmeront les lieux.

Au centre Georges-Pompidou (4ème), un nouveau festival artistique débute ce vendredi 20 janvier. Tous les ans, le centre d’art s’intéresse à un sujet d’actualité et le traite par l’image. Cette année, la guerre en Ukraine est au cœur de la 18e édition du festival Hors Pistes. Jusqu’au 19 février, expositions, projections de films, performances, rencontres et spectacles rythmeront le centre Pompidou.

Cet événement se découpe en deux parties. La première : “voir la guerre”. Plusieurs artistes interrogent le public sur l’importance de l’image, une « pièce à conviction”, en temps de conflit. En Ukraine, depuis l’invasion de la Russie, c’est l’image amateure, celle prise par des civils ou des militaires, qui fait la une.

Voir la guerre et faire la paix

Ainsi, Orianne Ciantar Olive, photographe indépendante, présente une série de clichés captivante. Accompagnées de témoignages sonores, des photos du quotidien de la jeunesse ukrainienne défilent. L’intention de l’artiste est de solliciter l’engagement du public, en diffusant des images transmises depuis le cœur de la guerre sans aucune image de guerre. Pour “briser le cycle de la violence”.

 

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Mais faire la guerre, c’est espérer à terme la paix. “Faire la paix”, c’est l’autre thème exploré par le centre Pompidou. Un sujet difficile à montrer en image. “Nous avons une mauvaise représentation mentale de la paix, estime Géraldine Gomez, chargée de programmation. Ce sont plutôt les négociations autour d’une table que nous avons en tête.

Installations insolites

Pour illustrer ce thème, l’artiste plasticienne Hélène Mutter présente “Military Sunset”. Sous les yeux des visiteurs, des images de soldats au moment du coucher du soleil défilent. Dans le même temps, des témoignages de spécialistes ou de haut gradés donnent leur vision de la guerre et de la paix.

Le festival Hors Pistes prend aussi vie grâce à un concert et aux nombreuses rencontres qui y ont lieu. La cinéaste Danielle Arbid, le journaliste Pierre Haski et des invités décryptent la guerre. Des installations insolites sont aussi mises en place comme l’utilisation du jeu vidéo Minecraft pour étudier l’homme ou la mise en place d’une expérience immersive et sensorielle unique.


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18e édition du festival Hors Pistes

Où ? Le centre national d’art et de culture Georges-Pompidou – Place Georges-Pompidou, 4ème 
Quand ? Du 19 janvier au 19 février 2023
Horaire ? Ouvert tous les jours de 11h à 21h, sauf le mardi
Combien ? Le festival Hors Pistes est en accès libre, à l’exception du concert de Ragapop

Photo de une : Image d’illustration – Centre Pompidou! © Pio3

C.D.

La Sainte-Trinité, cathédrale russe de Paris, rive gauche © Wirestock Creators

Faire le tour du monde sans quitter le sud de Paris

Faire le tour du monde sans quitter le sud de Paris 1000 667 Arsene

Selon une étude de l’APUR, aujourd’hui 15 % des habitants de la métropole parisienne sont de nationalité étrangère. La richesse et la variété de ce multiculturalisme se retrouvent dans plein de quartiers différents : voici donc nos préférés, pour voyager sans quitter le sud de la capitale !

Chinatown

Fuyant la situation politique en Asie du Sud-Est, plusieurs communautés asiatiques se sont installées dans les logements vacants du 13ème arrondissement dès les années 1970. Ici, on célèbre le Nouvel an chinois, la messe est en cantonais, des temples bouddhistes sont cachés ça et là. On y vient aussi pour faire ses courses chez les frères Tang et profiter des nombreux restos du quartier !

Le Pletzl

C’est le plus ancien quartier juif de Paris puisque la communauté s’installe dans le Marais à partir du XIIIe siècle. Dès 1880, ils se concentrent principalement autour de la place Saint-Paul, renommée le Pletzl  (« petite place » en yiddish). Sa colonne vertébrale est la charmante rue des Rosiers, remplie de bonnes boulangeries et restaurants cacher. Mais n’y allez pas le samedi, c’est le jour du shabbat – le repos hebdomadaire – donc tout est fermé !

La petite Bretagne

Avec la première ligne de train Paris Montparnasse – Brest créée en 1865, de nombreux bretons s’implantent autour de la gare. Mais la langue française n’étant pas obligatoire en Bretagne (avant 1930), ils sont souvent obligés d’accepter les métiers peu qualifiés et subissent le racisme : ils sont appelés « les parias »… Se serrant les coudes, ils arrivent à ouvrir de délicieuses crêperies bretonnes, qui attirent encore parisiens et touristes aujourd’hui !

Billankoursk

Suite à la Révolution russe de 1917, de nombreuses familles russes trouvent refuge près de Paris, dans un quartier de Boulogne-Billancourt qui sera rapidement surnommé « Billankoursk ». 30 000 de ces hommes sont embauchés dans les usines Renault voisines, et s’installent définitivement ici. La jolie église orthodoxe Saint-Nicolas-le-Thaumaturge conserve encore la mémoire de cette page de l’Histoire.

Quartiers arméniens

Surnommé « la petite Arménie », un quartier d’Alfortville est le repaire de la communauté arménienne depuis les années 1910. La Maison Arménienne Culturelle et Artistique, l’église apostolique Saint-Paul et Saint-Pierre, les commerces et rues qui portent des noms arméniens sont toujours le symbole de cette présence. On retrouve un quartier similaire à Issy-Les-Moulineaux, avec également son église évangélique, son temple et sa maison de la Culture Arménienne.

Découvrez aussi comment faire le tour du monde sans quitter le nord de Paris !

Image à la UNE : La Sainte-Trinité, cathédrale russe de Paris, rive gauche © Wirestock Creators

A. C.

La Sainte-Trinité, cathédrale russe de Paris, rive gauche © Wirestock Creators

Faire le tour du monde sans quitter le sud de Paris

Faire le tour du monde sans quitter le sud de Paris 1000 667 Arsene

Selon une étude de l’APUR, aujourd’hui 15 % des habitants de la métropole parisienne sont de nationalité étrangère. La richesse et la variété de ce multiculturalisme se retrouvent dans plein de quartiers différents : voici donc nos préférés, pour voyager sans quitter le sud de la capitale !

Chinatown

Fuyant la situation politique en Asie du Sud-Est, plusieurs communautés asiatiques se sont installées dans les logements vacants du 13ème arrondissement dès les années 1970. Ici, on célèbre le Nouvel an chinois, la messe est en cantonais, des temples bouddhistes sont cachés ça et là. On y vient aussi pour faire ses courses chez les frères Tang et profiter des nombreux restos du quartier !

Le Pletzl

C’est le plus ancien quartier juif de Paris puisque la communauté s’installe dans le Marais à partir du XIIIe siècle. Dès 1880, ils se concentrent principalement autour de la place Saint-Paul, renommée le Pletzl  (« petite place » en yiddish). Sa colonne vertébrale est la charmante rue des Rosiers, remplie de bonnes boulangeries et restaurants cacher. Mais n’y allez pas le samedi, c’est le jour du shabbat – le repos hebdomadaire – donc tout est fermé !

La petite Bretagne

Avec la première ligne de train Paris Montparnasse – Brest créée en 1865, de nombreux bretons s’implantent autour de la gare. Mais la langue française n’étant pas obligatoire en Bretagne (avant 1930), ils sont souvent obligés d’accepter les métiers peu qualifiés et subissent le racisme : ils sont appelés « les parias »… Se serrant les coudes, ils arrivent à ouvrir de délicieuses crêperies bretonnes, qui attirent encore parisiens et touristes aujourd’hui !

Billankoursk

Suite à la Révolution russe de 1917, de nombreuses familles russes trouvent refuge près de Paris, dans un quartier de Boulogne-Billancourt qui sera rapidement surnommé « Billankoursk ». 30 000 de ces hommes sont embauchés dans les usines Renault voisines, et s’installent définitivement ici. La jolie église orthodoxe Saint-Nicolas-le-Thaumaturge conserve encore la mémoire de cette page de l’Histoire.

Quartiers arméniens

Surnommé « la petite Arménie », un quartier d’Alfortville est le repaire de la communauté arménienne depuis les années 1910. La Maison Arménienne Culturelle et Artistique, l’église apostolique Saint-Paul et Saint-Pierre, les commerces et rues qui portent des noms arméniens sont toujours le symbole de cette présence. On retrouve un quartier similaire à Issy-Les-Moulineaux, avec également son église évangélique, son temple et sa maison de la Culture Arménienne.

Découvrez aussi comment faire le tour du monde sans quitter le nord de Paris !

Image à la UNE : La Sainte-Trinité, cathédrale russe de Paris, rive gauche © Wirestock Creators

A. C.