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Arsene

Le futur musée de la Marine

Le sublime musée de la Marine rouvre en 2023 après 6 ans de travaux

Le sublime musée de la Marine rouvre en 2023 après 6 ans de travaux 850 478 Arsene

C’est l’un des événements culturels les plus attendus de l’année. Le musée de la Marine va enfin rouvrir ses portes après sa fermeture en 2017. Totalement repensé, il propose au public une aventure immersive à travers 400 ans d’histoire navale.

Alors que le musée Bourdelle vient d’ouvrir ce 15 mars 2023, un autre centre culturel de taille revient à Paris. Après une fermeture en 2017, le Musée de la Marine à ne pas confondre avec l’Hôtel de la Marine (8e) va enfin rouvrir ses portes en mi-octobre 2023. Situé dans le Palais de Chaillot (16e), sur la place du Trocadéro, c’est l’un des musées phares de la capitale.

Nouveaux espaces d’exposition | Escale « Les modèles » (vue d’artiste) © Casson Mann-LMNB

“Une institution moderne et vivante”

Six ans de travaux qui ont permis au musée de “définitivement entrer dans XXIe siècle” s’enthousiasment les dirigeants. Du projet culturel à l’architecture, de la muséographie au parcours de visite en passant par l’identité graphique, tout a été entièrement repensé. Coût total de l’opération : 63,5 millions d’euros.

Le musée national de la Marine possède l’une des plus belles et des plus anciennes collections retraçant 400 ans d’aventures navales. Plus de 900 pièces ont été restaurées à cette occasion : objets scientifiques et techniques, décoratifs, maquettes, photographies, sculptures, peintures etc.  Pour nous montrer la puissance de ses collections, le nouveau musée promet de plonger le public dans une ambiance Marine. Une immersion qui stimulent tous les sens.

Le futur musée de la Marine

La salle Traversée « Tempêtes et naufrages » habitant les objets phares du musée (vue d’artiste) © Casson Mann-LMNB

Le futur musée se présentera donc comme une institution moderne et vivante, et non uniquement comme un lieu d’exposition d’objets historiques”, déclarent les gestionnaires. Dès l’entrée, un parfum marin « Sillage de mer » accueille  le visiteur. Cette « fragrance » est conçue spécialement pour le musée national de la Marine par Nathalie Lorson, Maître Parfumeur chez Firmenich. Rendez-vous dans quelques mois pour découvrir le musée totalement renové.


+ D’INFOS

Rénovation du musée de la Marine

Où ?  Musée de la Marine – Palais de Chaillot – 17 place du Trocadéro, 16e
Quand ? Ouverture mi-octobre 2023

Photo de une : La salle Traversée « Tempêtes et naufrages » habitant les objets phares du musée (vue d’artiste) © Casson Mann-LMNB

C.D.

Une vente au kilo géante arrive ce week-end à Paris

Une vente au kilo géante arrive ce week-end à Paris 850 567 Arsene

Pendant deux jours, une grande vente au kilo s’installe à Paris. 10.000 pièces sont exposées. Sur les étales, découvrez des produits de seconde main et vintages. Vivre Paris vous explique le concept et comment y participer.

Rendez-vous dans le Quartier Général. Au 71 rue de la Fontaine au Roi (11e), s’organise une immense vente au kilo. Et la société Rethink Vintage, qui organise l’événement, n’a pas vu les choses à moitié : 10.000 pièces vintages et de seconde main sont disponibles à la vente.

Affiche de l’événement des 25 et 26 mars 2023 © Rethink Vintage

Un catalogue impressionnant qui contient des “pièces uniques et de qualité” détaille Rethink Vintage et une grande variété de tailles et de styles. Le prix est de 35€ au kilo. Mais il n’y a pas de minimum d’achat. Le prix est calculé au prorata du kilo. Par exemple, un foulard de 100 grammes coûtera 3,50 €.

Comment s’inscrire ?

Pour y participer, il faut réserver son créneau sur le site de l’événement. L’inscription est gratuite. Le ticket permet d’entrer au créneau indiqué et de rester aussi longtemps que vous le souhaitez. Tout au long du week-end, il y aura un réassort de nouvelles pièces. Des cabines d’essayage et balances sont mises à disposition du public. Bon plan pour les étudiants : vous bénéficiez d’une réduction de 10% sur tous les achats.


+ D’INFOS

Friperie au kilo – Paris

Où ?  Le Quartier Général – 71 rue de la Fontaine au Roi, 11e
Quand ? Les 25 et 26 mars
Horaire : Samedi de 10h à 19h | Dimanche de 10h à 17h
À noter : Paiements en CB et espèces | Ne pas oublier pas de prendre un sac
Combien ? Entrée gratuite sur inscription | 35€ le kilo mais il n’y a pas de minimum d’achat. Le prix est calculé au prorata du kilo. Par exemple, un foulard de 100 grammes coûtera 3,50 €.

Photo de une : image d’illustration : friperie vintage © Anna Svetlova

C.D.

 

Rue Royale, Paris © Jebulon

Le détail que personne ne remarque dans la rue Royale à Paris

Le détail que personne ne remarque dans la rue Royale à Paris 850 582 Arsene

La rue Royale est cette splendide artère qui relie l’église de la Madeleine à la place de la Concorde. Le regard est tant attiré par la belle perspective qu’elle offre, que peu de passants remarquent le détail inédit qu’elle conserve… En effet, il s’agit d’un appel à la mobilisation générale de la Première guerre mondiale !

Il faut aller au n°1 de la rue Royale pour apercevoir ce trésor de l’histoire. Là, on découvre une affiche de 1914, appelant les parisiens à se mobiliser pour la guerre. Le 1er août de cette année là, tous les français étant soumis aux obligations militaires sont effectivement appelés à prendre les armes et l’uniforme. Cette annonce est donc relayée par les maires dans la capitale, comme ici, celui du 8e arrondissement. Celle-ci est ainsi la toute dernière de ces affiches encore en place à Paris ! 

Appel à la mobilisation générale en 1914 © Guilhem Vellut

Appel à la mobilisation générale en 1914 © Guilhem Vellut

L’affiche avait pourtant été oubliée, jusqu’à ce qu’un passant la remarque en 1919. Comme un devoir de mémoire, il décide alors de la faire protéger par une vitre. La couleur choisie pour le cadre n’est cependant pas anodine… Il s’agit du même bleu que les uniformes des soldats français de l’époque ! Malheureusement, la protection n’a pas suffit, et l’originale a dû être remplacée par une copie dans les années 1970. C’est tout de même un souvenir historique, qui a été laissé là, sans doute, pour ne jamais oublier…

Poilus défilant rue Royale en 1916 © vasse nicolas antoine

Poilus défilant rue Royale en 1916 © vasse nicolas antoine

Image d’illustration à la une : Rue Royale, Paris © Jebulon

A. C.

Rue Royale, Paris © Jebulon

Le détail que personne ne remarque dans la rue Royale à Paris

Le détail que personne ne remarque dans la rue Royale à Paris 850 582 Arsene

La rue Royale est cette splendide artère qui relie l’église de la Madeleine à la place de la Concorde. Le regard est tant attiré par la belle perspective qu’elle offre, que peu de passants remarquent le détail inédit qu’elle conserve… En effet, il s’agit d’un appel à la mobilisation générale de la Première guerre mondiale !

Il faut aller au n°1 de la rue Royale pour apercevoir ce trésor de l’histoire. Là, on découvre une affiche de 1914, appelant les parisiens à se mobiliser pour la guerre. Le 1er août de cette année là, tous les français étant soumis aux obligations militaires sont effectivement appelés à prendre les armes et l’uniforme. Cette annonce est donc relayée par les maires dans la capitale, comme ici, celui du 8e arrondissement. Celle-ci est ainsi la toute dernière de ces affiches encore en place à Paris ! 

Appel à la mobilisation générale en 1914 © Guilhem Vellut

Appel à la mobilisation générale en 1914 © Guilhem Vellut

L’affiche avait pourtant été oubliée, jusqu’à ce qu’un passant la remarque en 1919. Comme un devoir de mémoire, il décide alors de la faire protéger par une vitre. La couleur choisie pour le cadre n’est cependant pas anodine… Il s’agit du même bleu que les uniformes des soldats français de l’époque ! Malheureusement, la protection n’a pas suffit, et l’originale a dû être remplacée par une copie dans les années 1970. C’est tout de même un souvenir historique, qui a été laissé là, sans doute, pour ne jamais oublier…

Poilus défilant rue Royale en 1916 © vasse nicolas antoine

Poilus défilant rue Royale en 1916 © vasse nicolas antoine

Image d’illustration à la une : Rue Royale, Paris © Jebulon

A. C.

Vue sur le boulevard Haussmann de nuit © Fujjii

La petite histoire du boulevard Haussmann

La petite histoire du boulevard Haussmann 850 567 Arsene

Cet immense boulevard de plus de 2,5 km est l’une des principales artères parisiennes. Il porte le nom du célèbre baron Haussmann, qui a transformé Paris. Il est aujourd’hui connu pour les sièges des banques qu’il accueille, et les Grands Magasins qu’il longe. Cependant, le boulevard Haussmann a aussi des anecdotes plus inattendues, et méconnues, à nous raconter !

Cette voie devait être La plus belle par son étendue, la plus riche par ses constructions, la plus centrale par sa position, la plus indispensable par son parcours », selon un architecte contemporain du baron Haussmann. Toutefois, plus de 10 ans après le début de sa construction, elle n’est toujours pas terminée et commence à faire polémique…

Une construction chaotique

Le boulevard Haussmann est commencé en 1857, mais il n’est inauguré qu’en 1927. Les parisiens l’ont donc attendu pendant 70 ans ! En effet, il devait relier les Grands Boulevards à l’Arc de triomphe« c’est-à-dire le Paris de l’intelligence au Paris de la gloire” comme on pouvait le lire dans Le Figaro de l’époque. Mais entre temps, la guerre de 1870 et la Première guerre mondiale ont suspendu les coups de pioche. De plus, le baron Haussmann a réveillé une certaine colère populaire… En effet, ses chantiers permanents, les expropriations liées à ses travaux, et des rumeurs sur son enrichissement personnel, font rage. Il est vrai qu’en à peine 18 ans, il a donné un nouveau visage à la capitale : rues, jardins, règles architecturales, places, bois, ponts… Tout y est passé. Il a même fait raser la maison dans laquelle il est né, à l’angle de la rue du Faubourg-Saint-Honoré ! Cette transformation a aussi eu un coût considérable : 510 millions de francs-or, soit plus de 25 milliards d’euros actuels. Ces dépenses se sont bien sûr répercutées sur les loyers et ont pesé sur les plus pauvres. Haussmann verra donc son nom attribué au boulevard, mais pas la fin des travaux car il décède en 1891.

 

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Des habitants célèbres

Le boulevard Haussmann a également été l’adresse de plusieurs personnalités parisiennes. C’est le cas du peintre Gustave Caillebotte (au n°31) : certaines de ses toiles impressionnistes reprennent d’ailleurs la vue de son balcon. On le retrouve par exemple dans L’Homme au balcon (1880) ou encore Un balcon à Paris (1881). Au n°102, Marcel Proust a écrit À la recherche du temps perdu. Cependant, il n’aimait pas vraiment cet appartement… Apparemment, le pollen des marronniers devant sa fenêtre lui donnait des crises d’asthme, et le boulevard était trop bruyant. En 1910, il a même fait poser des plaques de liège sur les murs de sa chambre pour être plus au calme ! Le boulevard Haussmann est désormais un passage obligatoire pour les touristes, qui viennent faire du shopping au Printemps et aux Galeries Lafayette. Il accueille actuellement une très jolie exposition en plein air à ne pas louper !

 

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Image d’illustration à la une : Vue sur le boulevard Haussmann de nuit © Fujjii

A. C.

Vue sur le boulevard Haussmann de nuit © Fujjii

La petite histoire du boulevard Haussmann

La petite histoire du boulevard Haussmann 850 567 Arsene

Cet immense boulevard de plus de 2,5 km est l’une des principales artères parisiennes. Il porte le nom du célèbre baron Haussmann, qui a transformé Paris. Il est aujourd’hui connu pour les sièges des banques qu’il accueille, et les Grands Magasins qu’il longe. Cependant, le boulevard Haussmann a aussi des anecdotes plus inattendues, et méconnues, à nous raconter !

Cette voie devait être La plus belle par son étendue, la plus riche par ses constructions, la plus centrale par sa position, la plus indispensable par son parcours », selon un architecte contemporain du baron Haussmann. Toutefois, plus de 10 ans après le début de sa construction, elle n’est toujours pas terminée et commence à faire polémique…

Une construction chaotique

Le boulevard Haussmann est commencé en 1857, mais il n’est inauguré qu’en 1927. Les parisiens l’ont donc attendu pendant 70 ans ! En effet, il devait relier les Grands Boulevards à l’Arc de triomphe« c’est-à-dire le Paris de l’intelligence au Paris de la gloire” comme on pouvait le lire dans Le Figaro de l’époque. Mais entre temps, la guerre de 1870 et la Première guerre mondiale ont suspendu les coups de pioche. De plus, le baron Haussmann a réveillé une certaine colère populaire… En effet, ses chantiers permanents, les expropriations liées à ses travaux, et des rumeurs sur son enrichissement personnel, font rage. Il est vrai qu’en à peine 18 ans, il a donné un nouveau visage à la capitale : rues, jardins, règles architecturales, places, bois, ponts… Tout y est passé. Il a même fait raser la maison dans laquelle il est né, à l’angle de la rue du Faubourg-Saint-Honoré ! Cette transformation a aussi eu un coût considérable : 510 millions de francs-or, soit plus de 25 milliards d’euros actuels. Ces dépenses se sont bien sûr répercutées sur les loyers et ont pesé sur les plus pauvres. Haussmann verra donc son nom attribué au boulevard, mais pas la fin des travaux car il décède en 1891.

 

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Des habitants célèbres

Le boulevard Haussmann a également été l’adresse de plusieurs personnalités parisiennes. C’est le cas du peintre Gustave Caillebotte (au n°31) : certaines de ses toiles impressionnistes reprennent d’ailleurs la vue de son balcon. On le retrouve par exemple dans L’Homme au balcon (1880) ou encore Un balcon à Paris (1881). Au n°102, Marcel Proust a écrit À la recherche du temps perdu. Cependant, il n’aimait pas vraiment cet appartement… Apparemment, le pollen des marronniers devant sa fenêtre lui donnait des crises d’asthme, et le boulevard était trop bruyant. En 1910, il a même fait poser des plaques de liège sur les murs de sa chambre pour être plus au calme ! Le boulevard Haussmann est désormais un passage obligatoire pour les touristes, qui viennent faire du shopping au Printemps et aux Galeries Lafayette. Il accueille actuellement une très jolie exposition en plein air à ne pas louper !

 

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Image d’illustration à la une : Vue sur le boulevard Haussmann de nuit © Fujjii

A. C.

L'église de la Madeleine à Paris © Par Richie Chan

5 anecdotes insolites sur l’église de la Madeleine de Paris

5 anecdotes insolites sur l’église de la Madeleine de Paris 800 497 Arsene

A Paris, le nom de l’église de la Madeleine est connu de tous. En revanche, peu nombreux sont les parisiens qui l’ont visitée et connaissent son histoire… Voici donc notre top 5 des anecdotes insolites sur ce monument emblématique de la capitale !

Il aura fallu près de 80 ans pour construire ce gigantesque édifice aux allures de Parthénon. En effet, depuis la pose de sa première pierre en 1763, le chantier a connu la mort de son architecte, la Révolution Française… Ainsi que plein d’autres contretemps, qui font de cette église de la Madeleine un monument vraiment à part.

1. Elle n’a pas de clocher

Les passants sont toujours intrigués par son architecture gréco-romaine, et son absence de clocher, comme de croix. Cela s’explique car l’église de la Madeleine a été commencée sous Louis XV, mais terminée sous Napoléon Ier pour rendre hommage aux soldats de sa Grande Armée. Sauf que c’est finalement l’Arc de Triomphe qui fut dédié à ce projet : la Madeleine sera donc rendue au culte catholique, mais en gardant son style de temple laïc.

2. Elle a influencé de style de l’Assemblée Nationale

Pour créer un bel effet de symétrie, l’empereur décida d’ailleurs de modifier l’architecture de l’Assemblée Nationale, de l’autre côté de la Seine. Il fit ainsi construire une colonnade devant le Palais Bourbon en 1806. Grâce à cela, aujourd’hui, la perspective depuis les marches de la Madeleine est superbe !

3. Elle abrite une représentation de Napoléon

L’église de la Madeleine est la seule où l’on peut voir l’empereur entouré de figures importantes du christianisme. Au-dessus de l’autel, dans la demi-coupole, on le voit effectivement aux côtés du Christ sur une fresque de Jules Ziegler. Dessus, Napoléon porte un manteau orné d’abeilles d’or, et l’évêque de Gênes lui remet le texte du Concordat.

4. C’est l’église des stars

L’église de la Madeleine a accueilli les funérailles de plusieurs célébrités. Parmi elles, on compte Frédéric Chopin, Edith Piaf, Josephine Baker, Charles Trenet… Et bien sûr Johnny Hallyday.

5. Elle cache un restaurant

Déjà au Second Empire, la paroisse de la Madeleine accueillait les ouvrières modestes du quartier (les fameuses « midinettes« ). Elle leur permettait de faire réchauffer leur gamelle sur les poêles à charbon de l’église. En 1969, l’association du Foyer de la Madeleine voit le jour, pour servir à manger aux personnes démunies. Désormais, un chef cuisinier accompagné de 4 salariés et de nombreux bénévoles, préparent jusqu’à 100 repas par jour à prix réduit. Le restaurant est ouvert à tous, du lundi au vendredi de 11h45 à 13h45. Il propose un menu à 13,50 € (entrée + plat + dessert) pour les adhérents (adhésion 10€ par an). C’est un lieu vraiment insolite, situé dans la cave voûtée de l’église !

Image d’illustration à la une : L’église de la Madeleine à Paris © Par Richie Chan

A. C.

La chasse aux œufs la plus insolite de Paris revient

La chasse aux œufs la plus insolite de Paris revient 1000 666 Arsene

Au printemps, le Parc Zoologique de Paris organise une grande chasse aux œufs et de nombreux événements tout au long de la saison. Vivre Paris vous dévoile le programme.

Depuis le 20 mars 2023, Paris est entré dans le printemps. Si la météo n’est pas encore au rendez-vous, le Parc Zoologique de Paris a, lui, annoncé un grand événement pour célébrer la saison ! Du 25 mars au 7 mai 2023, participez aux rendez-vous sauvages du printemps. Au programme : chasse aux œufs, week-end gratuit et énormément d’animations !

Le Parc Zoologique de Paris sera accessible gratuitement les 25 et 26 mars pour les moins de 13 ans. L’occasion parfaite pour découvrir le tout nouveau jeu de piste centré sur les prédateurs. Accompagnés par un médiateur, effectuez une visite insolite à la rencontre d’espèces phares, et inattendues, du zoo.

Des activités insolites

Deux semaines plus tard, les 9 et 10 avril 2023, découvrez une immense programmation autour de Pâques. C’est là qu’est organisée la traditionnelle « Chasse aux œufs ». L’objectif est de trouver cinq œufs de la même couleur cachés aux Clairières ! L’inscription est obligatoire sur le site du Parc Zoologique. Découvrez aussi deux installations insolites : le Musée de l’Oeuf, pour tout savoir sur les œufs et le Musée du Chocolat, pour découvrir les secrets du cacao.

Avec l’arrivée du printemps une toute nouvelle saison thématique débarque. Le Parc Zoologique de Paris (12ème), met en place une programmation exceptionnelle pour mieux comprendre le prédateur. Et s’apercevoir qu’il « n’est pas forcément celui que l’on croit ». Au-delà des félins, il y a aussi les autres prédateurs (insectes, oiseaux, petits mammifères, lézards, serpents…).


+ D’INFOS

Rendez-vous sauvages du printemps

Jeu de piste

Où ? Parc zoologique de Paris – avenue Daumesnil, 12e
Quand ? Du 25 mars au 7 mai 2023 | Chasse aux oeufs les 9 et 10 avril 2023

Photo de une : Le parc zoologique de Paris © F-G Grandin

C.D.

Simulation du Village lors de la Coupe du monde de rugby

Coupe du monde à Paris : une immense fan zone sur la place de la Concorde

Coupe du monde à Paris : une immense fan zone sur la place de la Concorde 850 549 Arsene

En 2023, la capitale accueille un événement très attendu : la coupe du monde de rugby ! Pour l’occasion, un village géant arrive place de la Concorde. Vivre Paris vous dévoile les contours de cet immense projet. 

C’est l’événement de l’année. Dès octobre 2023, Paris va vibrer au rythme de la coupe du monde de rugby. Pour l’occasion, la mairie a prévu un immense projet : un village géant au cœur de la capitale, sur la place de la Concorde. Au programme : écran géant et atelier rugby. Une occasion unique de vivre l’expérience rugby en plein Paris.

Simulation du Village lors de la Coupe du monde de rugby

Simulation du Village lors de la Coupe du monde de rugby 2023 © Ville de Paris – Visuel non contractuel

Ce village sera installé dès le début de la compétition. Du 8 septembre jusqu’au 28 octobre 2023, arpentez “un lieu de festivité à la hauteur de ce grand événement sportif international” s’enthousiasme Pierre Rabadan, adjoint à la maire de Paris chargé du sport. 

Programmation de folie

En plus de pouvoir regarder les matchs, le Village accueillera des animations sportives et culturelles (démonstrations, ateliers rugby proposés par des associations parisiennes, concerts…), des rencontres avec des athlètes et légendes du ballon ovale, des jeux et ateliers interactifs ainsi que plusieurs espaces de restauration et de convivialité.

Simulation du Village lors de la Coupe du monde de rugby

Simulation du Village lors de la Coupe du monde de rugby 2023 © Ville de Paris – Visuel non contractuel

Dans le détail, le Village sera ouvert les jeudis lors des matchs de l’Équipe de France, ainsi que les vendredis, samedis et dimanches du tournoi entre 14h et 23h30. Clin d’œil pour les passionnés, le village de célébration prend la forme d’un ballon ovale

La fan-zone sera “le reflet des ambitions de la Mairie en termes d’inclusivité, d’éco-responsabilité et d’organisation à l’approche des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024”, confie Pierre Rabadan. De quoi donner un avant-goût de ce qui attend les Parisiens lors des Jeux olympiques de Paris 2024


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Photo de une : Simulation du Village lors de la Coupe du monde de rugby 2023 © Ville de Paris – Visuel non contractuel

C.D.

cathedrale notre dame paris reconstruction

L’incendie de Notre-Dame de Paris a permis de révéler un secret extraordinaire

L’incendie de Notre-Dame de Paris a permis de révéler un secret extraordinaire 800 497 Arsene

Des chercheurs parisiens ont découvert un secret primordial dans la construction de la cathédrale. Dès le début du chantier Notre-Dame de Paris, en 1163, on utilisait du fer, massivement. Une découverte étonnante. Vivre Paris vous explique pourquoi.

Il y a quatre ans, une partie de Notre-Dame partait en fumée. Un épisode qui a marqué la capitale mais qui a permis de révéler quelques secrets sur l’édifice. En 2022, on découvrait un sarcophage enfoui à vingt mètres sous la cathédrale. Mi-mars 2023, des chercheurs ont révélé avoir découvert que Notre-Dame de Paris est « la première cathédrale gothique à avoir utilisé du fer massivement lors de sa construction ».

Les agrafes en fer utilisées lors du chantier de Notre-Dame de Paris | Agrafes en fer : a. sur des murs supérieurs. b. à l’intérieur des colonnes monolithiques de la nef (vue de l’agrafe en rouge). c. dans les tribunes du chœur. © 2023 L’Héritier et al

C’est étonnant. Car l’utilisation du fer lors du chantier de Notre-Dame « était connue, détaille les scientifiques dans le journal Plos One. Mais l’ajout de ce métal [dans un tel édifice] était considéré comme une caractéristique de restauration tardive (généralement du XIXe siècle). » Avant Notre-Dame, la plus vieille utilisation du fer découverte était sur la cathédrale de Soissons, bâtie à la fin du XIIe siècle.

Pourtant, il y a plus de 800 ans, les maîtres-maçons ont utilisé des agrafes en fer pour souder des pierres entre elles. L’équipe de chercheurs a pu en étudier douze provenant des tribunes, de la nef ou encore des murs supérieurs.

Les agrafes en fer utilisées lors du chantier de Notre-Dame de Paris vue de près

Les agrafes en fer utilisées lors du chantier de Notre-Dame de Paris vue de près | La ligne rouge indique le lieu d’échantillonnage © 2023 L’Héritier et al

2023, grand année pour Notre-Dame

Au lendemain de l’incendie, le président de la République, Emmanuel Macron, présentait sa volonté de rebâtir la cathédrale « d’ici cinq années », soit 2024. Un défi de taille, une course contre-la-montre qui fera de 2023 une année décisive. Au cours des prochains mois, les constructions vont grimper dans les airs : la flèche devrait enfin sortir de terre.


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Consulter l’étude sur le journal Plos One
Suivre la restauration de la Cathédrale Notre-Dame de Paris

Photo de une : cathédrale Notre-Dame de Paris ©milosk50

C.D.